LE DEPARTEMENT EST LE PLUS GRAND « BIDIYAT » DE L’HISTOIRE DE MAYOTTEESSAI DE DEFINITION DE BIDIYAT :
Le BIDIYAT est une idée et une pratique, qui font sortir de l’islam, qui égarent vers d’autre religions ou conception ou vers la mécréance. En général c’est une idée ou une pratique nouvelle, ou ancienne mais remise au goût du jour. C’est une innovation en matière religieuse obligatoire, sunna, ou recommandée.
LE DEPARTEMENT EST LE PLUS GRAND BIDIYAT DE L’HISTOIRE DE MAYOTTE MUSULMANE
Si la définition de BIDIYAT, donnée ci-dessus est exacte ou simplement proche de la vérité, alors le département est le plus grand Bidiyat de l’histoire de Mayotte. Le département est une idée et une pratique nouvelle à Mayotte, comme l’est en général un Bidiyat. Il s’agit de remplacer les lois coraniques par des lois de la république, en toute matière. C’est extrêmement grave du point de vue islamique.
A Mayotte, il aura été exprimé pour la 1er fois en 1960 et 1970, sous la présidence de SAID Mohamed Cheikh aux Comores, par Georges Nahouda. Ces lois sont progressivement étendues à Mayotte depuis 1976, sous la collectivité territoriale (CT) avec un bond en 2001 sous la Katiba (Collectivité Départementale) et une tournure manifestement contraire au coran à partir de 2005 avec les amendements Kamardine.
LES PERSONNES QUI DEFENDENT L’IDEE ET LA PRATIQUE DU DEPARTEMENT EN CONNAISSANCE DE SES CAUSES ET DE SES EFFETS SONT TRES PEU NOMBREUSES.
Parmi les grands élus de Mayotte, on peut citer : Georges Nahouda, Marcel Henri, Adrien Giraud, Jean François Hory, Jean Baptiste Mansour Kamardine. On peut constater que tous, sont des Chrétiens, des Athées ou agnostiques. Rappelons qu’à Mayotte plus de 96% de la population est musulmane. Au fond le département est une conception d’une infime minorité, mais imposée insidieusement à la grande majorité. On peut voir ainsi combien cette majorité est tolérante et combien cette minorité manque de tolérance !
La plupart des Mahorais classés départementalistes, ne connaissent pas les causes et les effets du département. On s’est bien gardé de leur dire ! Ainsi elle ignore les mauvais côtés, l’envers du « médaille », les contraintes, les conséquences fâcheuses dans ce monde et dans l’autre, notamment pour avoir écarté la loi coranique pour d’autres lois, celles du département, les méfaits sur la société, avant bien ordonnée et civilisée, aujourd’hui prétendument modernisée mais en fait déréglée, disloquée, désorganisée, désintégrée, désolidarisée…, l’absence d’égalité notamment d’égalité d’éducation, de soin… l’absence de liberté à citer la liberté de conscience, de croyance de religion…
LA PLUPART DES MAORAIS CONSIDERES COMME DEPARTEMENTALISTES, SOUVENT A TORT MAIS MEME A RAISON, IGNORE COMPLETEMENT QUE LE DEPARTEMENT EST LE PLUS GRAND BIDIYAT DE L’HISTOIRE DE MAYOTTE MUSULMANE !
Ces « départementalistes » ne voient que ce qu’on leur a montré à savoir le bon côté du département, lequel est d’ailleurs loin d’être parfait. Pour eux le département c’est « beaucoup d’argent » des verreries, des lumières éclatantes… partout, sans qu’ils puissent dire si c’est pour eux ou pour d’autres.
Ce n’est pas du tout obligatoire, mais dans le cas de Mayotte, le département est accompagné voire même précédé de droit commun, lequel est la principale source de Bidiyat et est à l’origine de dégâts considérables.